Le Nocher des Enfers

[Le Nocher des enfers est vetue d'une longue robe en velours violine surpiqué d'une mulitutde de rubans et de coupons de d'organdi, de soies, de taffetas, noir et or de feu.
sa chevelure semble chatouiller ses hanches et également flirter avec le ciel....
Son regard cerné de khôl semble chercher au loin la silhouette de sa compagne representante des divinité du vent (UVOGUINE), lorsque qu'apparaissent DARK et ses guerriers.]

Elle toise les guerriers, leur attitude semble malgré tout l'intéresser.
- Dark, tes guerriers sont fatigués, qu'ils se reposent, les abords de ma grotte sont accueillants, par contre s'il s'aventurent à l'intérieur leur raison doit être forte car nombreux sont ceux qui ont perdus l'esprit en venant ici je ne peux blâmer ces âmes perdues , je n'ignore pas notre pouvoir d'attraction sur ces terres... mais qu'ils en soient prévenu.

*elle part dans un rire si rauque et si aigu qu'il semble venir du fond de la terre et des cieux à la fois*

- Dark, il y a une rivière plus bas, pour tes guerriers, mais toi même *elle hésite en jetant un dernier regard au loin*, veux tu venir à l'intérieur que nous discutions un peu.
*elle observe la carrure de son visiteur*
-j'aime entendre ces récits guerriers....
*son impatience se lisait sur son visage*
- Dark aurais tu croise une guerrière fille du vent nommée Uvoguine lors de tes campagnes?
Dark semblait comme aspiré par la bouche pulpeuse du Nocher ses yeux étaient hypnotisés par la silhouette de la succube
*le charme s'accentua lorsque la succube se détourna violemment du malheureux pour scruter les alentours* Z








!

[Dark partant d'un rire puissant ] Me prend tu pour une âmes faibles ? C'est le pouvoir qui ma attiré ici ! Il y a une grande quantité d'énergie dans ce lieu les dieux m'ont envoyez ici pour je ne sais qu'elle raisons ... mais les voix des dieux sont impénétrable ...

Je vais te conter mes récit , voila seulement 10 jours que nous sommes arrivé sur cette terre après des mois de traversée , les peuple de ses terre sont faible et accepte de laissée des présent pour que nous les laissions tranquille , nos dieux nous en envoyé ici car le destins de mon peuple n'est pas de me battre contre des enfants [regard insistant sur le nocher ] je cherche d'autre guerrier pour rentrée dans les conflit de cette terre que vous nommer travian ! et je vaincrais tous nos ennemis pour vous ma dame [regard ou brille un fanatisme mal contenue]

Dark se laisse entrainer dans les profondeur de son repère ...

Salut les[b]PANDORA
[b/]
Bon, je me suis inscris sur le forum des pandora
alors, je pose ma candidature ici ??

Non conquis notre nocher et il t'ouvrira les portes de son antre...
Tu auras alors accès au formulaire de candidature...

olala trop d'honneur ma dame je suis née pour vous plaire ...

le seigneur Rhal sortie de sa meditation et vit une joute verbal magnifique n etant pas aussi bon que ces 2 protagonistes en élocution il se contenta d assister a cette joute verbal magnifique et resta muet d admiration devant tant de prouesses lyriques "respect a vous conquérant linguistique et que le meilleur gagne" dit il (même si son coeur penchait sans équivoque en faveur de sa muse le noche inégalable dans la pratique de l envoutement verbal ) que le meilleur gagne

Alors qu'elle venait d'offrir le repos du guerrier à Dark, Noch retourna aux portes de son antre, et, comme avant l'arrivée du guerrier et de sa troupe, elle se mit à contempler l'horizon dévasté de cette partie des Enfers d'un air pensif.
Elle crut voir la silhouette de l'Eolienne se dessiner sur les ténèbres naissantes dans le creux de la vallée en contrebas. Elle crut... ceci n'était qu'une illusion.

Pendant ce temps, dans un autre endroit, communément appelée Eolie, une femme s'activait. L'allure preste, elle se dirigeait vers le temple principal d'Eole, et plus précisément dans ses quartiers jouxtant celui ci.
Une fois arrivée dans ses appartements elle s'allongea sur un divan. Un certain moment s'était écoulé depuis la dernière rencontre avec le succube, et chaque jour elle avait sentit grandir l'envie en elle de la retrouver. C'était comme une graine qui, petit à petit, grandissait. Elle avait désormais atteint maturité.
Uvo scrutait l'ouvrage détaillé dessiné au plafond, absorbée dans ses pensées... quelques minutes plus tard elle revint à elle. Il était temps.

Son voyage pour se rendre en contrée Pandorienne était finement préparé. Elle avait trouvé un nouveau vecteur de "transport" digne de l'ainée de son Dieu Eole.

L'air environnant les alentours de l'antre du succube était lourd, même pour une partie des Enfers. Peut être était ce lié à l'humeur de la pseudo femme, déçue du fait que sa compagne ne se soit pas manifestée.
Après un moment passé dans l'attente, Noch tourna les talons pour retourner dans son antre.

Un peu plus loin, au fin fond de la vallée, un Souffle inaudible se leva, inaudible pour toute oreille humaine. Prenant de la puissance et commençant à balayer les rochers, les cendres commencèrent à monter dans l'air, seuls témoins du phénomène, puis formèrent localement de petits tourbillons. La température baissa de quelques degrés lorsque le murmure du vent se fit entendre.

Noch continua sur le chemin du retour. Elle avait inconsciemment perçu le phénomène, mais n'y avait prêté attention, toute figée dans l'attente de la fille du Vent. Un Eolien aurait été present, il aurait vu la trajectoire du mouvement d'air qui se dirigeait vers ce qui ressemblait à une grotte creusée à flanc de montagne: l'antre Nocher.
Le succube fut finalement extirpé de sa rêverie lorsque elle eu un frissonnement. Elle pouvait sentir ne serais ce que la plus petite variation de chaleur, et la température avait quelque peu baissé... cela n'était pas normal.

Le murmure se transforma en un bruit sourd lorsque le Souffle s'engouffra dans la grotte. Noch, se retourna pour analyser ce qui se produisait. Le Souffle la toucha, agréable, chaud, doux, telle une caresse sensuelle, puis s'évanouit tout aussi soudainement qu'il était apparut. La température retrouva son niveau habituel, le silence se refit une place dans la salle comme un reflet de la solitude du Nocher.
C'était invraisemblable !!

- Encore une rêverie dit elle tout haut, le ton plus qu'agacé, se morigénant elle même.

- Oh, crois tu ?

Noch se retourna brusquement au son de cette voix mélodieuse qu'elle connaissait bien, un large sourire s'esquissant sur ses traits.
La ou quelques instants auparavant il n'y avait personne, une femme vêtue de soie bleu azur se tenait devant elle, sa chevelure d'un noir d'onyx ondulant comme sous l'effet d'une brise. Sauf qu'il n'y avait pas de brise. Uvo lui rendit son sourire.

- J'ai trouvé un moyen quelque peu semblable à ta téléportation. Ma foi c'est assez pratique "dit-elle, frottant de ses mains sa robe comme pour la lisser". Zéphyr a repris du service...

mon nom est Zeffensrad, je suis le fils de Zeffensrad, fils de Zeffensrad, dont le pere s appelait aussi Zeffensrad.
Parfois je sors de leur coffre de bois les vieux parchemins et j y vois mon nom écrit Zeffensrad, zefenzrad, zfzrad.
Ces parchemins attestent que Zeffensrad, fils de Zeffensrad, est le seigneur légitime des terres précisément bornées de pierre et de digues, de chênes de frênes, par les marais et par la mer.
Je rêve de ces terres sauvages, battues par les vagues sous un ciel agité de vent..........

Je crois qu'il a zeveu sur la zangue

Je suis un ealdorman,, quoique je me fasse appeler comte Zeffensrad, ce qui revient au même, et ces parchemins à l'encre pâlie sont la preuve de mes possessions.
La loi dit que je détiens cette terre et la loi, nous l'enseigne-t-on, est ce qui fait de nous des hommes devant dieu et non des bêtes se vautrant dans la fange.

Histoire: Axire n'a aucun souvenir avant ses 4 ans, jour où elle avait été arrachée à sa famille pour servir de soldat dans l'élite miliaire de son pays. Grâce aux technologies de son époque, on pouvait savoir à l'avance dans quel métier allait exellé l'enfant.
Pendant 6 années, elle fut entrainée nuits et jours pour devenir une machine à tuer. Le jour où elle parvint à sortir major de sa promotion, elle pu enfin être ammenée à servir la DGSE française. Travaillant dans l'ombre, elle était surtout appelée pour les meurtres discrets, et autres sales besognes. Elle devint aussi froide et aussi inflexible qu'un roc, et s'appliquais à suivre les ordres précisément, quelqu'ils soient. Elle fut ainsi amenée à tuer des hommes importants, aussi bien que des enfants de son age. Mais un jour, elle fit une faute. Elle laissa s'échapper un enfant d'un massacre organiser. Elle fut donc envoyer dans le secteur scientifique en tant que punition. Elle y appris de nombreuses choses, et l'on découvrit que sous ses airs distants et brutaux, se cachait une fille débordant d'intelligence, et voulant toujours apprendre plus. Mais, lorsque le soir venait à tomber, sa chambre se remplissait de cris. Son esprit était hanté de ses nombreuses victimes, et elle ne trouvais plus le sommeil.
Un jour, elle entendit parler de la relance d'une navette pour le projet pandora. Elle fit des pieds et des mains pour y participer, espérant recommencer une nouvelle vie sans crime ni sang. Et d'après ce qu'elle avait entendut, ce serais un autre monde, une autre race, un autre univers, merveilleux et en synbiose avec la nature.
Elle demanda ses amis du département scientifique de l'amener avec eux. Ils acceptèrent, et firent créer pour elle un avatar. Elle fut congelé pendant 6 années, et à son réveil, elle fut émerveillée par la beauté de ce nouveau monde.
Elle n'as qu'une hâte à présent, c'est de pouvoir commencer son exploration avec son avatar.


Caractère : Ayant renfouler son innocense d'enfant pour devenir une machine à tuer, Axire est de ce fait très instable. Elle peut-être extrèmement gentille (ce qui arrive de plus en plus depuis son arrivée), et la seconde d'après être aussi sadique que le pire des diables.
Elle aime très peu parler de son existence militaire, mais aspire la moindre information sur pandora, telle une éponge.

- Nous amuser... huh, je dirais plutôt nous divertir dit Uvo, posant un regard qui en disait long sur les zouaves ici présents.

Tandis qu'elle regardait ces mâles rouler des muscles et faire des courbettes pour l'impressionner elle et sa compagne, Uvo se dit en son for intérieur:
C'est très étrange... Noch faisait de l'humour et semble heureuse, que dis-je, est heureuse. Pourtant rien d'exceptionnel ne s'est produit à ma connaissance, et cela ne lui ressemble pas du tout... *regarde Noch, cette dernière lui rend un chaleureux sourire* Toutefois c'est bon qu'elle transpire de joie et de bonne humeur.
Elle essaierait d'en apprendre un peu plus sur le pourquoi du comment.

Noch lui adressa un coup d'œil lui désignant une grande banquette de couleur brune en forme de croissant de lune, striée de blanc située dans un renfoncement de la pièce, garnie de coussins à outrance.
Les deux femmes s'y installèrent confortablement. Le rembourrage était moelleux, elle restèrent assisses dans un premier temps.
Uvo qui, dans un premier temps, s'attendait à se trouver seule avec le succube s'était sentie quelque peu ennuyée. Mais bon, maintenant qu'elle était la autant en profiter, et puis, l'humeur de Noch était communicative. Cela faisait un moment qu'elles ne s'étaient vues et elle ne voulait pas gâcher leurs retrouvailles.

- Noch

- Oui mon amie ? répliqua t-elle d'un ton langoureux

Uvo fut prise d'un fou rire.
- Qu'est ce que tu m'a servi la ?!! De la cervoise... c'est une boisson de barbares. Tu l'as dit toi meme, la mondanité m'est coutumière, alors ce... cet... enfin cette "boisson" ne me convient pas. N'as tu pas quelque chose de mieux ?

Du mouvement de la main, la pseudo femme fit apparaitre une table basse où se matérialisa une carafe à décanter en cristal. Uvo se servit un verre du liquide limpide qu'elle contenait et en servi un autre à sa compagne.
Elle porta le breuvage à ses lèvres, le gout était fort en bouche, néanmoins avec une subtilité qui contrastait avec cette force. Probablement un alccol de mirabelle.

- Voila qui est mieux lanca Uvo en regardant les hommes faire leur parade.
Ils avaient l'air stupides. Il suffisait à un homme de voir une belle femme et que cette dernière lui laisse entendre que quelque chose serait possible pour qu'il se donne en spectacle. Stupides mais néanmoins drôles, divertissants.
Ils avaient l'air de vrais barbares dans leur gilets de cuir, leurs tuniques matelassées, leurs braies crasseuses, toutes témoignant du chaud climat Pandorien. Cela ne paraissait déranger Noch qui observait d'un oeil amusé la scène. Elle avait du voir la même chose se produire maintes et maintes fois au cours des siècles...
Au moins Dark lui s'était débarbouillé. C'était bien plus convenable.

Uvo avait envie de s'amuser, fut ce au détriment de ces hommes. Elle pensait les exciter plus que de raison, puis les laisser ensuite dans leur ardeur en se dérobant à eux. Les hommes jouaient tellement avec la gent féminine, toute contrée confondue, que ca ne serait que de bonne guerre.

Notre Eolienne s'allongea sur son flanc, puis se tourna vers le succube. Cette dernière semblait absorbée par la scène se produisant sous ses yeux. On y voyait les flammes des bougies de plafond refléter leur lumière orangée dans ses yeux. Uvo lui prit la main.

- J'ai dans l'idée de.... dit Uvo dans un chuchotement semblable à un murmure.
Noch tourna la tête puis fit passer ses doigts le long de la joue d'Uvo. Uvo était une belle femme, c'était indéniable. Elle avait de l'éloquence, une manière d'être originale, et c'est tout ce qui faisait son charme. Sacrée humaine...

Lui rendant un regard complice Noch termina la phrase de l'ainée D'Eole
- Je pense que nous pensons à la même chose... toi, tu as envie de jouer avec eux, cela se lit dans ton regard. La lueur de malice qui y règne te trahit...

- Héhé, on ne peut rien te cacher dit l'Eolienne en rigolant.

Quiconque aurait observé toute la scène l'aurait trouvée singulière. Deux femmes telles deux reines étaient étendues sur un canapé, parlant et rigolant avec une grande complicité, entourées d'hommes qui essayaient tant bien que mal d'attirer leur attention. Il ne manquait que quelques tentures et autres décorations pour meubler la simplicité de la grande pièce taillée dans la roche pour en faire un Van Gogh.

Puis Noch de continuer d'une voix scabreuse
- Ma foi ca pourrait être intéressant !! tu m'as quelque peu manquée depuis la dernière fois...

C'était donc ca. La bonne humeur de Noch venait du fait qu'elle était contente que son amante vienne à elle. Un tel étalage de sentiments était une surprise venant du Noch. Jamais elle n'aurait avoué cela auparavant. Peut être commençait-elle à s'humaniser. Toutefois Noch lui avait également manqué... le sentiment était partagé.
Le rouge monta aux joues d'Uvo.

Le flamboiement des torches se fit plus prononcé lorsque Uvo se rapprocha de Noch dans un long et lent mouvement empli de grâce, comme si les flammes voulaient accentuer ce qui se préparait. Uvo vint se coller sur le flanc du Nocher puis dit bien fort à la cantonade:
- ouvrons la boite de Pandore

Les hommes, interloqués par cette tournure mais également par le rapprochement des deux femmes, réduisirent leur ardeur et se concentrèrent plus sur ce qui se déroulait sur leurs yeux.

Et ce fut qui Uvo ouvrit le bal.
Elle fit glisser lentement sa main depuis l'épaule gauche de sa compagne jusque son poignet; l'épiderme chaude du succube était un régal au toucher: puis elle passa sa main derrière son dos comme pour l'étreindre. Jouant le jeu, Noch se laissa faire, puis se laissa partir en arrière, retenue par seulement par le bras d'Uvo.
Cette dernière la rapprocha ensuite d'elle, ni trop vite ni trop rapidement, pour bien réveiller les mâles en présence.
Noch approcha son visage de delui d'Uvo, et les deux femmes partirent dans une folle embrassade, langoureuse à souhait. Elle s'arrêtèrent quelques minutes plus tard.

La température avait bien augmentée. Les deux femmes jetèrent un rapide coup d'œil aux prétendants présents puis virent envie et frustration dans leur regard. Exactement ce qu'elles souhaitaient. Rien que voir leur air penaud valait le voyage. Faible engeance du créateur...
Nos deux amantes échangèrent un regard complice, témoignant d'une pensée commune, puis elles éclatèrent d'un rire qui résonna sur les parois de la grotte.

Puis Noch, pour continuer le jeu, donna une pression sur les épaules d'Uvo pour l'inviter à s'allonger. Uvo suivit le mouvement puis Noch se mit sur elle. Les eux femmes commencèrent à échanger caresses et baisers, tout en rigolant, et laissant échapper quelques cris pour ajouter à la comédie... puis dans un murmure Noch lanca son incantation.

Les guerriers ci-présent étaient littéralement en train de baver voyant ce qui se passait sous leurs yeux, quand soudain la banquette fut vide !! Disparues Noch et Uvo !! Seul le tissu froissé par endroits de la banquette témoignait de ce qui s'était passé.
En écho à cela, se fit entendre un rire narquois, donnant le sentiment qu'il savourait la frustration masculine.

Une bourrasque emplit soudain la salle, bourrasque qui refroidit l'ardeur de ce petit monde.

Quelques mètres plus loin, dans d'autre murs, les deux amantes pensèrent à ce qu'elles venaient de faire. Elles avaient clairement atteint leur but, c'était évident. Puis, riant à cette idée, elles s'unirent en toute intimité.

Nous gouvernons cette tere. Mon père, l'ealdorman Zeffensrad, regnait sur toute les etendues au sud de la Tuede et au nord de la Tine, mais nous avions en Northumbrie un roi nomé Osbert.
Il demeurait au sud, vennait rarement dans nos contrees et ne nous causait nul souci. Or, un dénomé OElla convoitait le trone.
Depuis les collines a l'est d'Eofferwic, cet Ealdorman avait leve une armee defiant Osbert, et avait envoyé à mon pere des presents en echange de son appui.
Je m'en rends compte à present, mais le succes de cette rebelion reposait entre les mains de mon pere.
Osbert etait le dernier des sots, mais c'etait le roi, et mon pere ne pouvait se resoudre a l'abandonner.
Pourtant, Osbertne lui avait adresse aucun present ni montre le moindre respect, contrairement a Aella, et c'etait la raison qui insitait mon pere a reflechir.....
Nous pouvions, d'un jour a l'autre lever une armee de 150 hommes, et en peu de temps en compter 500.
Celui que nous choisirions d'epauler deviendrait roi et nous en serait reconnaissant.
Du moins etait-ce ce que nous croyions ....................................

C'est pour savoir si vous recruter encore j'ai commencer travian en retard de un mois je suis en train de remonter!
Je met fait attaquer mais il repartent sans rien.
J'ai gagner le speed3x avec les lunatics une fois.
Et je pense finir ce serveur.
Je me situe en (32/-191)
En attente d'une réponse je vous souhaite une belle journée.